2020 : Armand Dupuy « lecteur » de Jérémy Liron, par Jean-Paul Gavard-Perret.
« La fragmentation (qui ne nie pas pour autant l’unité) permet la transgression de la frontière de la peinture mais à l’intérieure du cadre et non en dehors »
2020 : face à ce creux du regard, par Lionel Bourg.
N’empêche. Le doute règne. On se demande quelle respiration, quelle mort, même, et quelle catastrophe tremblent non pas derrière mais à l’intérieur, sous l’écorce ou l’épiderme des choses dont on ignorait à ce stade la dangereuse banalité.
2020 : Faire surgir la réalité, par Jean-Paul Gavard-Perret.
« Faisant voir à partir de la toile ce qu’elle montre et engage elle-même, Jérémy Liron déploie un autre lieu en une sorte d’acte poétique construit sur l’exécution d’une répétition de divers motifs. »
2020 : La densité de Jérémy Liron, par FL. GO.
« et pourtant la densité du regard est telle qu’elle imprime comme une présence vibrante sur ces toiles figuratives élégantes, d’une simplicité et d’un calme trompeurs »
2019 : Peggy Viallat-Langlois et l’adhésion dégagée de l’ombre, par JP Gavard-Perret.
« elle confectionne sa propre dentelle de couleur tandis que Liron la modèle de ses phrases »
2019 : Peggy Viallat-Langloy&Jeremy Liron, visagéités de la Vanité, par JP Gavard-Perret.
« Il y a là des expériences-sources où le crâne retrouve une forme de vie gravitationnelle en de tels principes créateurs. »
2019 : Une île, par Isabelle Bernini.
« Baignés d’une lumière intense, parfois ambiguë, les paysages de Jérémy Liron évoquent tout autant le présent que le souvenir. »
2019 : Habiter. Un livre de Sereine Berlottier et Jérémy Liron aux éditions Les Inaperçus, par Georges Guillain.
« la reprise quasi obsessionnelle de la même courte gamme chromatique qu’utilise ici Jérémy Liron forment une stimulante combinaison avec la grande mobilité et les incessants déplacements auxquels se livre l’écriture toute en relances et ruptures, en seuils, de Sereine Berlottier »
2019 : Habiter, par Jacques Josse.
Habiter un lieu, un espace, y faire halte de façon éphémère ou s’y poser durablement, n’est pas une mince affaire. Celui ou celle qui s’installe ne le fait pas inopinément.
2019 : 8/02>28/02
Mémoires d’architectures
2019 : 8/03>30/04
Pente douce
Il y a dans le travail de Jérémy Liron, dans sa peinture, un constat. Celui d’une lumière, d’une émotion particulière, de la singularité d’un lieu, d’un point de vue. Il y a une apparente immédiateté dans cette œuvre, cependant, à la surface de la toile, quelque chose nous trouble. À l’évidence quelque chose d’autre se manifeste. Est-ce cet azur béant qui jette un voile trop lumineux sur ce que l’on voit, ou cette ombre, sans retenue, qui envahit plus qu’il ne faudrait, peut-être, un pan de...
2019 : 30/03>1/06
C’est bien sûr l’horizon, mais ce sont surtout les cloisons, volet 2
2019 : 7/03>4/05
Les Mocos
Jérémy Liron a eu comme professeur d'arts plastiques Gilles Boudot au lycée à Toulon. Lui-même enseignant dans la même discipline, son savoir aurait pu faire de lui un académique; il n'en est rien et sa virtuosité technique s'efface toujours derrière la main du peintre. Comme plusieurs artistes de sa génération, il s'intéresse au paysage urbain, peignant des bâtiments sans qualités particulières, qui font l'essentiel de notre environnement quotidien. Au départ de l'oeuvre, il y a les prises de...
2019 : Libr-vacances, par Fabrice Thumerel.
« La maison, bouquet d’impressions : habiter / être habité, passée / pensée / passive / pensive… «
2019 : Habiter, par Stephen Dock, Zakarian-Navelet, Arnaud Maïsetti, Sereine Berlottier et Jérémy Liron, par Fabien Ribery
« De l’autre côté du mur, il y a tout à inventer, réinventer, réagencer dans le neuf et la mélodie des jours, seuls et ensemble. »