2020 : face à ce creux du regard, par Lionel Bourg.

N’empêche. Le doute règne. On se demande quelle respiration, quelle mort, même, et quelle catastrophe tremblent non pas derrière mais à l’intérieur, sous l’écorce ou l’épiderme des choses dont on ignorait à ce stade la dangereuse banalité.

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2019 : Habiter, par Jacques Josse.

Habiter un lieu, un espace, y faire halte de façon éphémère ou s’y poser durablement, n’est pas une mince affaire. Celui ou celle qui s’installe ne le fait pas inopinément.

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2019 : 8/03>30/04
Pente douce

Il y a dans le travail de Jérémy Liron, dans sa peinture, un constat. Celui d’une lumière, d’une émotion particulière, de la singularité d’un lieu, d’un point de vue. Il y a une apparente immédiateté dans cette œuvre, cependant, à la surface de la toile, quelque chose nous trouble. À l’évidence quelque chose d’autre se manifeste. Est-ce cet azur béant qui jette un voile trop lumineux sur ce que l’on voit, ou cette ombre, sans retenue, qui envahit plus qu’il ne faudrait, peut-être, un pan de...

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2019 : 7/03>4/05
Les Mocos

Jérémy Liron a eu comme professeur d'arts plastiques Gilles Boudot au lycée à Toulon. Lui-même enseignant dans la même discipline, son savoir aurait pu faire de lui un académique; il n'en est rien et sa virtuosité technique s'efface toujours derrière la main du peintre. Comme plusieurs artistes de sa génération, il s'intéresse au paysage urbain, peignant des bâtiments sans qualités particulières, qui font l'essentiel de notre environnement quotidien. Au départ de l'oeuvre, il y a les prises de...

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