2022 : DES FIGURATIONS, par Marie de Brugerolles.
« Une contre-nature ou une nature en contrepoint est aussi à l’œuvre chez Jérémy Liron dont l’inspiration est souvent l’architecture moderne de la Reconstruction »
2022 : Retourner voir, par Anne Favier.
« Les dessins voilées d’un écran coloré – comme une résine – sont maintenus entre deux eaux, au seuil de toute visibilité. En écho au processus photographique, ils sont en instance de révélation. »
2022 : Se cogner au paysage, par Jean-Emmanuel Denave.
« Jérémy Liron a tiré non seulement le rideau, mais aussi les leçons du modernisme pictural : un tableau c’est d’abord et avant tout un ensemble de lignes, de couleurs, une surface qui représente moins qu’elle ne se présente elle-même. »
2022 : C’est la vie! par Marie-Agnès Charpin.
« Baignés par cette évidence, il s’agit pour Jérémy Liron et Frédéric Khodja de voir le monde autrement. Par conséquent, leurs œuvres ne sont pas une simple appropriation du réel. »
2022 : Frédéric Khodja et Jérémy Liron, par Jean-Emmanuel Denave.
« Frédéric Khodja et Jérémy Liron se partagent les murs d’une galerie-appartement pour un double regard sur le paysage. »
2022 : Le Promontoire du songe, par Jean-Charles Vergne.
« Il ne s’agit pas de livrer de la célèbre architecture un inventaire documentaire — les photographes s’en sont largement chargés — mais de trouver avec la peinture une résolution permettant de s’éloigner de l’image pour dévoiler l’épaisseur de mémoire portée par le site. »
2022 : Varia, par JP Blanchet.
« Les paysages de Jérémy Liron saisissent cette configuration à l’articulation du construit et du naturel, de l’ordonné et du sauvage, au point sensible d’interaction entre le lisse quasi monochrome de l’architecture, et le vif, le mouvementé, le contrasté de la nature »
2022 : De l’inquiétante étrangeté du paysage, par Catherine David.
« De l’architecture moderne d’une villa entraperçue sous la végétation provençale de Jérémy Liron à la piscine désertée, éclairée de l’intérieur dans une nuit d’un calme saturnien d’Adrien Belegrand, il faut suivre les chemins, parfois inquiétants, de ces visions singulières. »
2022 : Paysage, par Noémie Cursoux.
« Ayant recours à la photographie comme point de départ pour peindre, Jérémy Liron construit des paysages traversés par quelques touches expressionnistes. »
2022 : Pièces d’échos, par J-P Gavard-Perret.
« A côté des grands formats de paysages dans l’atelier de l’artiste et au sein de ses oeuvres en cours, Liron laisse traîner sur son bureau esquisses, recherches, dessins, gouaches sur papier. »
2022 : Marginalia, par Guillaume Benoît.
« Liron donne vie aux organes de ces sujets et les baigne d’une chaleur impossible, poussant encore sa logique du paradoxe dans ces éléments taciturnes et vibrionnants »
2022 : Dessin d’après, par Anne Favier.
« les œuvres dessinées appellent à revoir leurs origines iconographiques médiatiques. Elles donnent ainsi à voir, autant qu’à ressentir, les opérations de transmutation et de translation par manipulations graphiques. »
2021 : Jeremy Liron, par Sylvie Carlier.
« Formé aux écoles d’art de Toulon et Paris, Jeremy Liron choisit la peinture pour questionner notre perception de l’espace à travers les paysages et l’architecture. »
2021 : 10/07-17/10
Un goût de vacances
vue de l'exposition Un goût de vacances, CAC Meymac, 2021.2021 : UN GOÛT DE VACANCES, DES SAVEURS D’ÉTÉ, PAR CAROLINE BISSIÈRE ET JEAN-PAUL BLANCHET. Caroline Bissière et Jean-Paul Blanchet, plaquette de l’exposition Un goût de vacances, des saveurs d’été, abbaye Saint André Centre d’art contemporain, Meymac. Trois artistes se partagent cet espace : Yann Lacroix, Alexandre Lenoir et Jérémy Liron dont le point commun est l’absence ou la quasi-absence visuelle de personnage dans leurs œuvres....
2021 : 22/05-23/05
Tangerine Tangerine
Vue de l'exposition Tangerine Tangerine, Les Moments Artistiques, Paris, 2021.Dans mon idée, l’exposition s’intitulerait « tangerine, tangerine ». Et si ce titre, comme point de départ insiste, c’est d’abord parce que je ne sais pas vraiment ce qui le justifie. Ou s’il fait vraiment programme comme on l’entend. Il y a quelque chose qui a à voir avec la sonorité vraisemblablement. Avec son exotique. L’évocation du soleil, d’un verger ou un jardin ; une certaine quiétude méditerranéenne. Il y a...