2024 : Terrain vague – Résistances, par Christian Rosset.
« Il y en aurait aujourd’hui environ 400 rassemblés sous ce titre Les Archives du désastre. »
2024 : Valse, par Bernard Collet.
« Ce sont ces fragments du monde qu’il nous montre, comme embaumés, relevés de leur ruine, réparés de l’oubli déposé sur eux par le temps. »
2024 : entrez dans la Valse de Jérémy Liron, par Marie-Pierre Joachy.
« L’exposition Valse est pensée comme une déambulation, un parcours valsé d’une image à une autre dans lequel apparaîtront les jeux d’échos entre les motifs, la statuaire antique et des œuvres du musée, des espaces de la ville que nous reconnaîtrons ou pas »
2024 : Beaux art Magazine spécial été
« Avec ce fragment de réalité, Jérémy Liron traduit les sensations d’une journée lumineuse, entre étrangeté, éblouissement et langueur »
2024 : Face mer et gros pinceau, par François Bon.
« Alors oui, cette question de la surface, de l’arbitraire du réel, de l’implacable juxtaposition de l’enfance et des balades, des raids de repérage avec appareil photo, juste ces coins de rue, ces coins de murs, ces arbres tors ou l’envahissement par les figuiers de barbarie, c’est bien de peinture qu’il s’agit. »
2024 : Mer intérieure, par Emmanuel Ruben.
« Il y a quelque chose d’archipélagique dans l’œuvre de Jérémy Liron. »
2023 : Regarder l’image qui regarde, par Éric Barbier.
« Jérémy Liron, peintre, auteur, enseigne ici une histoire du regard, une image de l’histoire, image qui ne pourrait rester neutre ou innocente, dans ce calme où nait ce que l’on choisit de voir »
2023 : L’empreinte du paysage méditerranéen, par Emmanuel Ruben.
« On pense à Hopper, bien sûr, dont il connait la science des contrastes et l’art de saisir l’étrangeté de l’instant. On pense à Kirbeby pour l’alchimie des couleurs et l’implacable géométrie. »
2023 : A sa fenêtre, par Jean-Paul Gavard-Perret.
« Attracteur et agrandisseur de jeux de couleurs et d’ombres, Jérémy Liron prouve qu’en lui-même le paysage n’existe pas. »
2023 : « La méditerranée est au cœur de mes œuvres », par Caroline Gonzales.
« Si la géométrie est une ligne conductrice dans son travail, les paysages de la Méditerranée le sont tout autant. «
2023 : Par les temps qui courent, par Mathilde Wagman.
« Si l’on essayait de décrire l’émotion qu’ils suscitent, on pourrait dire qu’il y a d’abord comme une sensation très forte de l’été. L’odeur du maquis, l’aveuglante lumière d’un soleil qui percute un mur blanc, les arbres et les cactus aux verts chatoyants, dont les masses contrastent avec l’architecture moderne de belvédères aux lignes droites. »
2023 : Jérémy Liron, la puissance de l’art par Solange Alziari de Malaussene.
« Cet artiste-peintre, agrégé d’arts plastiques, nous ouvre un univers où se conjuguent bâti et végétal, des images géométriques aux lignes intemporelles. »
2023 : Jérémy Liron – Un sentiment d’étrangeté par V.N.
« La peinture de Jérémy Liron ne décrit pas le monde mais en approche les rouages intimes. »
2023 : Jérémy Liron : paysage, mémoire et mélancolie. Un art de peindre en présence, par Laurence Gossart.
« Des étendues de peintures, des surfaces peintes qui font mur, des bleus, des pins qui traversent l’espace plan, circulant dans les ciels d’azur qui contredisent les aplats de couleur et enfouissent les architectures. »
2023 : Rivé au vague, par Thibault Bissirier.
« Le cadre est là pour circonscrire, la vitre pour éloigner encore. De loin, on n’y voit rien, sinon quelques percées obscures, des images comme des seuils, dont on s’approche, des trous de serrures par où l’on scrute pour voir ce qui se cache derrière. »